Circulaire, le luxueux ciel de pluie Aquahalo de Dornbracht sculpte littéralement l’eau et la lumière. Proposant trois jets aux effets visuellement marqués qui « exercent des pressions différentes sur la peau », il façonne les gouttes comme les pampilles d’un lustre.
Cette douche de plafond est née sous le crayon de Michael Neumayr. Pour dessiner Aquahalo, le designer austro-hongrois dit avoir puisé dans ses souvenirs d’enfance, calquant ses lignes sur celles d’un lustre de style gustavien – « un anneau, quatre bougies, un rideau de cristal se rétrécissant vers le haut » – à l’intérieur duquel sa mère avait pris la liberté d’ajouter un petit luminaire faisant jouer la lumière « avec les cristaux de plomb, ce qui créait de magnifiques réfractions » lui évoquant le jaillissement de l’eau. Dans sa ré-interprétation minimaliste, l’élément liquide devient le véritable protagoniste, l’élément clé d’une sculpture dont la forme change au gré des jets.
Plus ou moins vivifiants pour le corps, trois scénarios aquatiques sont délivrés pour stimuler différemment le regard, combinés à un éclairage intégré, via un spot encastré dans le plafond. Appelant à la méditation ou au réveil des sens, chacun de ces jets offre une expérience de bien-être distincte, caractérisée par sa propre esthétique. Pour Michael Neumayr qui affirme les avoir « spécialement sélectionnées » ainsi que l’angle dans selon lequel l’eau tombe de l’anneau, « la taille des gouttes d’eau et leur intensité jouent un rôle essentiel. »
Avec Aqua Circle Rain, l’eau s’écoule en douceur de l’anneau central, les gouttes matérialisant un cône aux contours souples qui vise à « produire un effet relaxant », ce rideau de pluie circulaire (Ø 46,5 cm) permettant à la tête de rester sèche durant l’aspersion.
Plus « rafraîchissante », la douche Tempest Rain est décrite par le fabricant comme « une averse venant de toutes les directions », les perles de cette pluie tropicale s’échappant cette fois vers le haut pour exploser à la manière d’un nuage en champignon : une fois le point culminant atteint, la gravité – et non la pression de l’eau – se charge de faire redescendre les gouttes, qui s’entrecroisent en tombant et « agissent tout en douceur sur notre corps, comme lors d’une pluie naturelle. »
A l’inverse, le jet Diamond Rain concentre l’eau et la lumière en une lame cristalline descendante, pour masser la tête, la nuque, la colonne vertébrale… « Nettement plus grosses que celles des jets Aqua Circle et Tempest Rain », les gouttes de cette cascade scintillent et donnent « l’impression que des diamants liquides tombent du ciel. »
Les +
♦ Ciel de pluie Aquahalo, Ø 60,5 cm, fixé au plafond en quatre points. Adaptations dimensionnelles possibles (longueur et saillie des robinetteries, modifications fonctionnelles, marquage…).
♦ Cinq finitions : chrome, platine brossé, champagne et champagné brossé (or 22 ct), noir mat.
♦ Trois jets : Aqua Circle Rain (débit maxi 14 litres/min), Tempest Rain (débit maxi 9 litres/min), Diamond Rain (débit maxi 6,8 litres/min).
♦ Eclairage Led (environ 3 000 K).
♦ Design Michael Neumayr.