Les vasques en céramique Brooklyn apportent de la fonctionnalité au point d’eau, posées sur un plan ou une console en bois, ou bien suspendues dans la version lave-mains. La cuve incorpore un compartiment de stockage et une zone de dépose.
Le propre de la vasque Brooklyn n’est pas seulement de recueillir l’eau. A la cuve s’ajoutent deux zones sèches, qui ont toute leur utilité au quotidien, inscrites dans la tendance qui place le point d’eau à l’école du rangement. Destiné à recevoir les produits et les accessoires entourant la toilette, un compartiment permet de les entreposer au plus près des besoins, sans risque de chute. Deux configurations existent, qui positionnent cette zone de stockage sur l’un des petits côtés (gauche ou droit, au choix), dans la profondeur (P 35-40 cm) ou sur la longueur, en arrière, pour le plus généreux des modèles (L 100 x P 50 cm).
La séparation entre le casier et la cuve à proprement parler est assurée par une surface plane suffisamment large pour accueillir la robinetterie et déposer les produits le temps de leur utilisation, comme sur un mini plan de toilette. Les bords de la vasque, dont la hauteur varie selon les modèles (de 16 à 25 cm) présentent un léger ressaut, qui, ceinturant l’ensemble, renforcent l’impression de polyvalence.
Trois types d’installation sont possibles : sur plan, avec la structure en bois coordonnée aux pieds tubulaires en forme de compas, ou murale. Cette version suspendue offre la possibilité de fixer un porte-serviettes : un bandeau de métal suit les lignes de la vasque, positionné à l’aplomb juste en dessous, pour ne pas grignoter l’espace.
Les +
♦ Vasques Brooklyn, en céramique, déclinées en quatre modèles (L 100 x P 50 cm x H 18 cm, L 90 x P 40 x H 16 cm, L 60 x P 35 x H 25 cm, L 40 x P 40 x H 16 cm), avec pré-percement pour la robinetterie. Existe en trois finitions : blanc (mat ou brillant) et noir mat.
♦ Pour pose murale, sur plan ou avec la console dédiée en noyer canaletto massif (L 65 ou 90 cm) avec tiroir intégré (laque moka mat).
♦ Design Meneghello Paolelli.
